vendredi 7 avril 2017

Les vers de terre



Leçon de chose sur les vers de terre


1°) Construction du souterrarium 

Voir fiches techniques ci-dessous

2°) Quelques renseignements généraux sur les lombrics

Témoin de la bonne santé de la terre
Acteur essentiel de la formation des sols

Famille des invertébrés : 3 sortes de vers de terre

  • épigés : vivent à la surface du sol, se nourrissent de la litière de la surface, présents dans les tas de fumier ou lombri-compost
  • anéciques : creusent des galeries verticales, se nourrissent la nuit à la surface du sol et laissent les turricules
  • endogés : vivent en permanence en pronfondeur, se nourrissent de la matière organique décomposée s'y trouvant, creusent des galeries horizontales
Rôles des vers de terre  :

  • ils influencent de manière décisive la fertilité du sol. En digérant, ils font caca. Ce sont les tirrucules qui sont de la terre enrichie, excellente pour le jardin. Voyez que ce la ne sent pas mauvais.
  • ils améliorent la structure du sol car en creusant des galeries, ils l'aèrent, ce qui lui permet de mieux absorber l'eau et d'avoir une structure plus granuleuse.
  • ils brassent le sol en amenant sous terre des débris végétaux. Les couches sont ainsi mélangées. Ils amènent donc aux racines des plantes ce dont elles ont le plus besoin pour grandir.
Attention : les produits chimiques, les labours profonds, le jardinage intensif sont autant de danger pour les vers.


3°) Quelques précisions complémentaires

Comment il avance ?

Son corps est divisé en segments, qui sont recouverts de poils courts, les soies, qui lui servent à se déplacer. Muscles longitudinaux et muscles circulaires qu'il contracte et relâche alternativement, c'est ainsi que son corps se rétrécit et se rallonge. Cela le fait avancer.

Comment il respire ?

Il capture l'oxygène par la surface de sa peau grâce à de très fins vaisseaux. Sa peau doit être maintenue humide, il fabrique donc du mucus, d'où son aspect gluant.

Comment il voit ?

Il perçoit la lumière grâce à des cellules photosensibles. Cela lui permet de savoir s'il est à la lumière, donc à découvert et donc en danger. Dans ce cas, il se renfonce de suite dans la terre.

A-t-il une bouche ?

Le vers de terre a une bouche. Après il bénéfice d'un tube digestif rectiligne constitué d'un pharynx, d'un œsophage, d'un intestin et d'un orifice anal.

A-t-il des dents ?

Il consomme des débris végétaux, il n'a cependant pas de dents. Il consomme sa nourriture, qu'il amène sous terre, après que des micro-organismes les ait prédigérés pour lui.

Mange-t-il de la terre ?

Certains vers se nourrissent de l'humus, c'est à dire de la couche superficielle du sol car ils ne sortent jamais de sous terre. D'autres emènent sous terre des débris végétaux qu'ils mangent après décomposition. Donc d'une certaine manière, ils mangent de la terre.
Un vers de terre coupé en fait-il deux ?

Non, car le vers est vivant et chacune de ses parties est utile. S'il est coupé en deux, il lui manquera certaines parties de son corps, utile à son bon développement. Il mourra rapidement si ces parties sont indispensables à sa vie.

Un vers est-il hermaphrodite ?

Oui, il possède des organes reproducteurs mâle et femelle. On sait si un lombric est adulte quand il possède un bourrelet blanchâtre appelé le clitellum. C'est par cette partie de leur corps que les deux partenaires se maintiennent pendant l'accouplement.

Les bébés vers de terre sortent-ils d'un œuf ?

Oui, les œufs sont des cocons qui sont fécondés à l'extérieur du corps des lombrics. Quand les bébés naissent, ils se nourrissent de tous petits débris végétaux.

4°) Expérience : les vers de terre font du bruit !
Matériel : feuille de papier et tube PQ ou cornet en papier

Fin !
Faim ?
:)

Fiches techniques pour construire un souterrarium :













mercredi 15 mars 2017

Le Chêne pédonculé

Nom vulgaire : Chêne pédonculé ou Chêne à grappes
Nom scientifique : Quercus robur / Quercus pedoncula
Famille : Fagacées

Il s'agit d'un arbre à feuilles alternées, lobées et caduques.
Résultat de recherche d'images pour "nom latin chêne pédonculé" 
Fleurs mâles : réunies, nombreuses, en châtons naissant en faisceaux au sommet des pousses de l'année précédente ou solitaires à la base des pousses de l'année.
Chaque fleur possède 1 périanthe = enveloppe qui tient lieu de calice et de corolle : 4 à 7 lobes et 4 à 12 étamines.


Fleurs femelles : très petites, solitaires ou en épis dans un involucre formé de nombreuses petites écailles


Fruit : Très connu, le gland est mûrs à l'automne de la même année ou de l'année suivante. Il est relié à la branche par un long pédoncule, tandis que le chêne sessile qui lui ressemble énormément à les glands directement fixés à la branche.
Le vent se charge de la pollinisations des fleurs qui apparaissent en avril-mai.
Résultat de recherche d'images pour "gland chêne pédonculé"Résultat de recherche d'images pour "gland chêne pédonculé"Résultat de recherche d'images pour "gland chêne pédonculé"
Origine : très ancienne (idem dicotylédone) apparu au Crétacé moyen, puis très répandu au Crétacé supérieur entre 65 millions et 160 millions d'années.
Le nom du chêne est issu d'un très ancien nom  Gaulois "cassanos" (en latin "cassanus", en français moderne "Chame", "Chaisne" et "Chesne" au 13é siècle). Casso(u) en Béarnais.
"Quercus" est le nom latin de la famille botanique des "chênes".

Espèces : Il en existe environ 500 dans le monde, dont 25 en Europe et dont une dizaine en France.

Taille : Grand arbre de 30 à 40m de hauteur et jusqu'à 7m de circonférence.
Ramification : La cime de l'arbre adulte est formée de très grosses branches, plusieurs fois coudées, comme le système racinaire.

Feuillage : Il est fait de touffes avec de nombreuses trouées, ce qui explique un couvert peu dense sous les futaies (le sol n'est jamais nu comme dans les hêtraies)

L'écorce : jusqu'à 20-30 ans, elle est assez brillante, lisse et d'un gris argenté
Après 30 ans, elle se gerce et s'assombrit et en vieillissant, elle sera de plus en plus fissurée en long, épaisse et brun sombre.
Résultat de recherche d'images pour "gland chêne pédonculé" 

Station et distribution : c'est une essence de lumière, ses jeunes plants supportent mal un couvert épais. Il aime les sol frais, profonds, les lieux approvisionnés en eau, argilo-siliceux ou argilo-calcaire. Il supporte mal une forte acidité. 
C'est l'arbre des plaines, et des grandes vallées, de l'étage collinéen (< 1000m d'altitude).
La chênaie pédonculée est l'association le plus répandue du "domaine atlantico-européen français". On la rencontre à peu près pure en Bretagne. Ailleurs, le pédonculé s'associe au charme (chainaie charmée), au hêtre (chainaie hêtraie), orme, frêne, érable, tilleul à petites feuilles,... . Ou à des arbrisseaux comme le noisetier, chèvrefeuille, aubépine, lierres, ronces, des plantes comme la jacinthe, la jonquille, le muguet,... l'ail des Ours,la fougère, dans les endroits plus humide.
Il est répandu un peu partout en France sauf dans les régions méditerranéenne et les Alpes du Sud.

Croissance, longévité : Sa croissance est assez lente. 
En circonférence  : - à 30 ans, il prend 2 cm par an
                               - à 100 ans, il prend 1 cm par an
                               - de 200 à 300 ans, il ne prend plus que 4,5 mm par an
                               - de 500 à 1000 ans, il en prend 3,25 mm par an 

Arbres remarquables: Le plus gros et le plus ancien a disparu. Il s'agissait du Chêne de Montravail en Charente-Maritimes. A la fin de sa vie, c'était un arbre creux de 26 m de circonférence à la base et 13 m à 1 m du sol et avait environ 2000 ans.
En Seine-Maritime, existe le Chêne Chapelle (1696). Dans son tronc a été creusé une chambre surmontée d'un oratoire. Il ne fait que 13 m de hauteurs, alors qu'il fait 15 m de circonférence à sa base et 10m à 1 m du sol. Ce Chêne Chapelle a été classé monument historique en 1932. Aujourd'hui, il a environ 1000 ans.

Les vieux chênes étaient très nombreux autrefois, il était commun de croiser des arbres de 500, 600 ou 700 ans. On les respectait du fait de leur âge.
Aujourd'hui, ils sont beaucoup plus rare. "La cupidité les a fait abattre" écrit Box en 1807 en référence au ravages de la Révolution. La Belgique, l'Allemagne, la Scandinavie et la plupart des pays de l'Europe ont encore de ces géants que l'on respecte de nouveau et que l'on protège.

vendredi 10 mars 2017

A la découverte de la macro faune aquatique buzéenne

Nous avons été invité.e.s par François-Olivier  à découvrir 
les p'tites bêtes du ruisseau de la "Cambagne" :



Après nous avoir accueillis pour recueillir nos représentations sur la macro faune aquatique il nous a proposé de dessiner 2 espèces qu'on pensait pouvoir y trouver ou d'entourer parmi des mots les 5 qui étaient les plus représentatifs de la faune présente dans le ruisseau :




Nous avons pris un temps pour regarder les représentations de chacun.

Après nous avoir présenté le matériel (épuisettes, boites, pinceaux, barquettes) et les consignes d'utilisation et de respect du milieu nous sommes partis à la pêche !!



Nous avons rapporté nos trouvailles dans des barquettes collective pour observer ces p'tites bêtes.



Pour nous aider à les identifier nous avions des fiches de détermination et un guide sur les petits animaux des lacs et rivières.


Nous avons pu identifier beaucoup de larves de perles et d'éphémères qui se distinguent par le nombre de cerques, sortes de queues (2 pour les perles et 3 pour les éphémères) :


Il y avait aussi des larves de Trichoptères (Phryganes) : c'est une larve sans carapace qui pour se protéger se fabrique un tube (ou fourreau) avec différents matériaux (herbe, feuille, sable...) :



Nous avons également trouvé une sangsue (famille des Hirudinées, annélides) et des Limnées (mollusques coniques) :



Dans le ruisseau vivent aussi des oligochètes (annélides) : des petits vers fins et rougeâtres, translucides.

L'hydromètre (famille des punaises amphibie), lui, vit au bord de l'eau.

Et n'oublions pas le tout petit Ilybius (Dytiques, coléoptères).

Ces espèces, en fonction de leur présence et de leur abondance peuvent être des indicatrices de la qualité de l'eau. En raison de la très forte présence de larves de perles et d'éphémères le petit ruisseau de la Cambagne semble en bien bonne santé !

Après avoir rangé les fiches de détermination et remis les p'tites bêtes dans leur milieu nous avons testé nos connaissances en équipe avec un jeu : faire deviner par le dessin à son équipe, les espèces observées.

La météo humide et venteuse ne nous a pas empêchée de nous réjouir de nos explorations les bottes dans l'eau (ou l'eau dans les bottes pour certaines !). Mais nous étions tout de même contents de rentrer au chaud !


LES TOURBIÈRES DE BUZY


LES TOURBIÈRES DE BUZY 


Aux portes de la vallée d'Ossau, sur la commune de Buzy, cet espace naturel.

La création de la tourbière:

Vers la fin des grandes glaciations, le retrait des glaciers laisse place à des plans d'eau favorables à l'installation de tourbières, c'est pour cette raison qu'on retrouve aujourd'hui ces zones humides principalement proche s des montagnes.

Cette tourbière est née d'un plan d'eau autour duquel se développe une ceinture végétale.
Certaines de ces plantes hydrophytes forment des radeaux flottants qui vont progresser vers le centre du plan d'eau jusqu'a le recouvrir complètement.

Elle s'est crée il y a plusieurs milliers d'années.

Elle a été exploitée autrefois pour la tourbe qui été utilisée en tant que combustible pendant la guerre.
Et aussi pour la constitution de gazon en plaque. Le réseau de drainage crée pour l'agriculture entraina de graves dégradations du milieu.
Depuis 95 les espaces tourbeux font l'objet d'une restauration et d'une gestion conduites par le CEN AQUITAINE.

Nous rencontrons Simonus Latimonus du CEN (Conservatoire des espaces naturels) qui nous accompagne pour la découverte de la tourbière.

La tourbière est régie par une convention tri-partite entre la commune propriétaire, l'exploitant et le CEN.

Pour la gestion de la tourbière, des bovins de races Highland Cattle paissent depuis 98. Cette espèce est dite rustique et se satisfait des milieux humide. Elle participe notemment à garder la tourbière ouverte en éliminant les jeunes pousses d'arbres (bouleau).

LA FLORE OBSERVÉE: 

- Linaigrette                   - Bruyère à 4 angles
- Molini                        - Spaigne
- Droseras                     - Lys des marais

L'apparition de bouleaux est un indicateur de fin de vie de la tourbière.

PETIT ZOOM SUR LA SPHAIGNE: 

C'est une mousse qui a la propriété de stocker une grande quantité d'eau (jusqu'a 25 fois son poids) et de sécréter des composés acides. Elle pousse par le haut et ses partie basales mortes et non décomposées sont à l'origine de la formation de la tourbe. 

La tourbe est donc un milieu pauvre en micro-élément dû à l'acidité du milieu ne favorisant pas l'apparition des bactéries, champignons et autres micro-organismes formateurs d'humus. 

FAUNE OBSERVÉE: 

- Lézard vivipare
- Grues cendrées en pleine migration vers le Nord (C'est le printemps !!!) 
- Papillon Paon du jour et Tiersis 

RENCONTRE AVEC PASCAL DUNAND 

Pascal et sa famille sont exploitant sur la tourbière; culture de petits fruits (myrtilles, framboise, cassis, etc...) et confection de confiture. Il se diversifie dans l'apiculture depuis 2010 et son fils Nicolas accompagnée de sa compagne Valentine se lancent dans le maraichage. 










Mon petit moment nature

Qu'est ce que mon "petit moment nature " ?






C'est un moment personnel d'imprégnation de et dans la nature. Il convient de choisir un endroit où l'on se sent bien, où nous sommes seul et hors de vue des autres et d'y rester le temps imparti. Ce temps peut se vivre debout, assis, allongé, les yeux ouverts ou fermés. Le but est de mettre tous ses sens en action.

Chaque individu aura une façon différente de le vivre et de se l'approprier. Chacun sera attentif à des choses différentes : les chants des oiseaux, le vol des papillons, l'odeur des sous-bois, les piquants du houx, le toucher de l'écorce des arbres, le doux bruit des lignes à haute tension ou du vent dans les arbres, la chaleur du soleil sur la peau, le vert des mousses, les bêbêtes de l'eau ou du sol, les bourgeons du printemps, l'observation des montagnes, la sensation de se rouler dans l'herbe, de grimper aux arbres.


Durant la semaine, nous avons vécu deux moments nature différents. Le premier dans les myrtilliers du Jardin d'Ossau était guidé par une feuille de l'imaginaire dont l'usage était optionnel. Dans l'ensemble, nous avons préféré nous en affranchir pour vivre ce moment magique en toute liberté.

Le second moment s'est déroulé dans les sous-bois du quartier des Chênes de Buzy (vers le camping). La nature était plus sauvage. Ce lieu a donc été plus apprécié de tous. En outre, il était plus facile de s'isoler.  Nous n'avions pas de feuille de l'imaginaire.

A la fin de ce moment, nous avons partagé nos ressentis, assis dans l'herbe, face aux montagnes et au soleil.

Le débat a permis de réaliser que dans nos pratiques, il convient d'être vigilant à l'exigence de solitude car certaines personnes n'en sont pas capables. Cette expérience est conseillée à partir de 7 ans. En revanche, avec des enfants, il convient de ne pas prévoir un éparpillement pour deux raisons : les avoir toujours en vue et les rassurer par la vue des copains.

 Ces moments sont vraiment importants à mettre en place car ils apportent beaucoup de sérénité. cela permet de couper avec la technologie moderne et les rythmes de vie effrénés.


COMMENT CHIER DANS LES BOIS ?



Auteur : Kathleen MEYER
Photographe américaine et auteur d'ouvrages sur la nature dont des carnets de voyage ; militante pour la défense de l'environnement et guide de montagne ; pratique des sports aquatiques de plein air (canoë-kayak, rafting, etc.).

Sujet : comme son titre l'indique, ce livre traite du problème des déjections humaines dans la nature et nous donne des instructions pour "bien chier dehors" tout en ayant le moins d'impact possible sur le milieu naturel.

Sous un titre plutôt provoc', il s'agit d'un livre relativement sérieux et technique qui traite de la problématique "caca" sans tabous et avec humour.

Instructif et éducatif, il est agrémenté d'anecdotes qui peuvent faire plus ou moins sourire et dans lesquelles beaucoup de ceux qui se sont déjà retrouvés confrontés au "comment chier dehors" se retrouveront ;-) !

Beaucoup de thèmes sont abordés : où faire caca, comment, comment s'essuyer si on n'a pas de papier, comment creuser son trou, que faire du papier, hygiène et filtration de l'eau, la problématique pour les femmes, etc ?

Un seul bémol pour les lecteurs : une bonne partie du livre traite du sujet en Amérique du nord où les pratiques ne sont pas les mêmes qu'en France, mais cela peut être utile pour tous ceux qui se destinent à aller y faire une virée !




dimanche 12 février 2017

Coopérer pour prévenir la violence : Jeux et activités d'apprentissage pour les enfants de 2 ans 1/2 à 12 ans


Couverture


De
De Boeck Fondamental
Des contenus théoriques sur le développement de l'enfant
Canaliser, apaiser, contrôler la violence : des outils, des petits jeux, des conseils...
Créer un climat sécurisant avant de coopérer
Former les groupes : propositions
Utiliser des jeux pour développer des valeurs de coopération
Comment évaluer l'impact des activités de coopération
Quels sont les bénéfices pour l'enfant de participer aux activités coopératives ?

"Prévenir la violence est devenu une préoccupation de notre société. À l'École, des comportements de violence surgissent dès l'enseignement maternel. Que faire ? Quelles réponses donner pour relever ce défi aux formes multiples ? Dans cet ouvrage, dernière édition enrichie, le lecteur trouvera : - des outils pédagogiques divers : règlements de vie, contrats sociaux, organisations d'activités apaisantes, séances de rires, de relaxation, de psychomotricité relationnelle globale et de coins de défoulement... et aussi, dans un esprit formatif, des grilles d'analyse et d'évaluation des comportements ; - des fiches méthodologiques détaillées de jeux de société et d'activités d'apprentissage coopératifs qui ont été expérimentés dans des classes maternelles et primaires de l'enseignement ordinaire et spécialisé. Ce livre s'adresse à toutes celles et tous ceux pour qui le bonheur de l'enfant, futur citoyen bien intégré, est une préoccupation essentielle. Les enseignants, éducateurs, animateurs, accueillantes à domicile, intervenants dans les Ecoles de devoirs pourront l'utiliser comme une boîte à outils."